Et si nous parlions du respect avec nos enfants ?

Fiche de présentation du livre :

 Il était une fois Zoufroute, le hérisson qui faisait des prouts !

Et si nous parlions du respect avec nos enfants ?

 

Édition : Décembre 2014

ISBN-13 : 979-1094349038

Dimension : 21cm x15cm

Format : J’ai opté pour ce format à l’italienne, pratique et agréable à manipuler pour les petites mains.

Nombre de ventes : + de 5000 ventes réalisées uniquement en ligne sur le site Amazon grâce au bouche-à-oreille. Je sais que de nombreux clients ont compris ma démarche d’écriture particulière et mon engagement pour défendre des valeurs humanistes et ont fait cet achat, malgré leurs avis négatifs face à ce grand distributeur qui « tue » peu à peu les librairies…

Depuis janvier 2015, 31 livres édités au total, + de 12 000 ventes !

Pourquoi l’auto-publication : C’est un choix par défaut en attendant de trouver un éditeur. Et j’ai ainsi pu vérifier que mes livres séduisaient petits et grands !

Pourquoi Amazon ? Parce que l’un de mes amis (qui m’a toujours soutenue dans mes projets d’écriture et surtout qui a cru en moi…) a assisté en août 2014 à une conférence sur l’auto-édition. Après nos échanges, il m’a convaincue de me lancer dans cette aventure…

Grâce à la formule proposée par Createspace via Amazon, les frais d’édition sont à moindre coût pour l’auteur et les livres sont édités à la demande, soit au fur et à mesure des commandes des clients. En toute franchise, financièrement, je ne pouvais pas opter pour une autre formule d’auto-publication…

De plus, je souhaitais absolument proposer un produit accessible à tous ! Des petits prix pour tous les porte-monnaie ! Il faut savoir que pour un livre vendu à 5.50 euros, je ne dégage qu’un euro de bénéfice et pour d’autres ouvrages avec un nombre de pages plus important, à peine 1 euro…

J’ai donc déterminé un prix de vente « au plus bas», afin que celui-ci corresponde aux caractéristiques du produit :

  • accessibilité maximum,
  • couverture souple,
  • livre avec ses belles imperfections (qui dérangent certains et qui au contraire séduisent les autres ! Tous les goûts sont dans la nature, ne l’oublions pas ! Et je suis la première à défendre dans mes ouvrages le respect des différences…)

Nature de l’ouvrage : Album narratif et iconotextuel sous la forme d’un conte.

Destinataires :

Double : enfants et adultes-médiateurs

Pour de jeunes lecteurs autonomes (6-8 ans), mais aussi bien évidemment pour des enfants plus jeunes, tout dépend de leurs intérêts et de leur maturité.

Adultes médiateurs ou prescripteurs, tels que les parents, grands-parents, enseignants, éducateurs, animateurs, bibliothécaires, libraires…

Titre de l’album : « Il était une fois Zoufroute, le hérisson qui faisait des prouts ! »

Titre qui annonce un conte « Il était une fois… », destiné au lecteur-enfant et au lecteur adulte.

Titre exclamatif, séducteur, accrocheur et annonciateur d’une histoire écrite pour faire rire les enfants, mais pas seulement, puisque « les prouts » ne sont qu’une simple excuse pour aborder une valeur fondamentale : le respect !

Pour avoir travaillé une vingtaine d’années auprès d’enfants et étant moi-même la maman de trois loulous, je sais à quel point le sujet des « prouts », des « cacas-pipis » fait rire et intéresse le jeune public ! Lorsqu’on voit l’énorme succès de l’album de Stéphanie Blake « Caca boudin », cela semble une nouvelle fois évident…

Nom du héros participe à cet effet comique ou humoristique : j’ai inventé le nom de Zoufroute pour sa sonorité commune avec « prout » !

Rien n’est laissé au hasard, car dans ce récit, je me suis beaucoup amusée avec les sonorités ! Les mots doivent faire « sens » et faire « son » selon moi…  

 La couverture :

Choix d’une matière vivante : pastels secs.

Fraîcheur et gaieté par les couleurs choisies qui apportent de la lumière à la couverture.

Douceur des pastels, accentuée par le toucher de la couverture (en mat).

Posture dynamique de Zoufroute qui se présente, interpelle ses lecteurs et les salue pour piquer leur curiosité et leur sens de l’humour : résonance avec le titre ! 

La quatrième de couverture :

La quatrième de couverture, quant à elle, est destinée exclusivement au lecteur-adulte (médiateur et tiers dans la relation livre-enfant). Mes intentions d’écriture sont donc explicites : en tant qu’éducatrice spécialisée, ce livre a des visées éducatives.

Je les expose clairement à l’adulte prescripteur ou acheteur. C’est en quelque sorte une de mes signatures ! J’ai eu de nombreux retours positifs pour cette caractéristique particulière qui distingue mes ouvrages des autres albums destinés à la jeunesse, dont les intentions sont implicites et peu révélés par les auteurs…

J’ai pensé mes livres comme des « supports de discussion », comme des « outils » mis à la disposition des enfants et des adultes pour échanger « ensemble » sur des sujets importants qui fondent notre existence.

L’histoire n’est qu’un « prétexte » pour aborder des thèmes incontournables, comme les valeurs humanistes, la notion de bonheur, la vie, la mort, les émotions…

Pas de leçon de morale, uniquement des pistes de réflexion, des questionnements, des ouvertures et le développement de l’esprit critique des lecteurs…

L’idée est d’ouvrir le débat, les discussions, de faire quelque chose de ce livre… En effet, lorsque je construis une histoire, celle-ci une fois terminée a bien d’autres choses à dire! Elle continue d’exister grâce au pouvoir du lecteur-enfant et du lecteur-adulte à qui je fais entièrement confiance pour poursuivre les échanges et les réflexions…

Par exemple, lorsque j’entends que Zoufroute est devenu la mascotte à la maison et que l’on y fait référence pour parler des règles de vie, je me dis que j’ai réussi mon pari !

Par contre, lorsque je lis sur certains commentaires Amazon, que le livre a été lu une seule fois, qu’il n’a été l’objet d’aucun échange, ce non-questionnement m’étonne, car l’intention du livre n’a pas été comprise…

Que les illustrations, la mise en page soient critiquées, je trouve cela compréhensible. C’était mon premier livre édité (seule !) et j’étais totalement novice dans ce domaine et limitée dans mes domaines de compétence. Entre nous, je pensais l’utiliser dans un milieu restreint : professionnel ! Je ne pensais vraiment pas que j’en vendrais autant en France (et ailleurs) de surcroît sous cette forme et qu’il séduirait autant de lecteurs, petits et grands !

Quant à la portée du texte, lire qu’elle est « nulle », cela me questionne… Je pars du principe qu’en littérature, même si un livre nous a moins séduits, adultes ou enfants, il a le mérite d’ouvrir la discussion !

Dois-je renoncer à l’originalité de la quatrième de couverture et ses intentions éducatives explicites ?

Suite à quelques contacts avec des éditeurs, la qualité de mon écriture ainsi que l’intérêt des sujets abordés sont soulignés, néanmoins, mes ouvrages ne correspondent à aucune lignée éditoriale. Ils se situent entre l’album jeunesse (illustrations pleine page) et l’essai (proposé par un professionnel et il est vrai que mes livres se vendent aussi grâce à cette reconnaissance en tant qu’éducatrice spécialisée, obtenue peu à peu dans la blogosphère.)

Les illustrations : Le choix des pastels secs, comme matière vivante, est une de mes signatures.

Beaucoup apprécient cette originalité qui se distingue des colorisations effectuées sur un ordinateur. Cette proposition dite « artisanale » séduit, car le rendu apporte une touche de douceur et de sensibilité.

Après mes esquisses, puis mes encrages, je passe à la colorisation au pastel, tout à la main bien évidemment et lorsque je me trompe, je dois « tout » recommencer ! Puis je scanne mes productions et même si je perds un peu en couleur (Eh oui ! Je n’ai malheureusement pas de matériel pro !!!! ), l’ensemble est apprécié.

J’aime ce contact avec les couleurs ! SI j’avais un atelier (je vous avoue à ce jour travailler dans ma salle à manger !), je m’exercerais à la peinture !!! Et à la technique de collage comme l’excellent Éric Carle dont j’admire ces œuvres…

Mes illustrations sont caractérisées par leur naïveté, leur grande simplicité (trop simple pour certains qui les comparent à des dessins d’enfants…) Je me suis reliée à ma propre enfance en proposant ces dessins. Mon intention : montrer l’essentiel et faire confiance au lecteur-iconique dans sa compréhension et son interprétation pour en dégager du sens !

J’ai peut-être « négligé » certains lecteurs-adultes, beaucoup plus exigeants, et j’ai tenté de moins accentué ce trait pour les deux autres titres de la série de Zoufroute : « Zoufroute le retour » et « Il était une fois Zoufroute, un papa… comme les autres ! », tout en proposant une illustration pleine page avec une partie du texte inséré dans l’image (après plusieurs heures d’essais et tentatives, j’ai réussi cette mise en page…) 

Enfin, j’ai opté pour le zoomorphisme des personnages, avec cette volonté de mise à distance du jeune lecteur. En évitant de représenter des personnages humains, le récit décale dans l’imaginaire de l’enfant une histoire parfois tragique ou difficile, avec des messages tout aussi forts, des pistes de réflexion.

Le texte :

Lorsque j’ai écrit ce texte, je me suis amusée à trouver des sonorités communes pour rythmer l’histoire et lui donner une musicalité… J’entends toujours ce que je mets en mots, car en écrivant, j’imagine mon livre tenu par la main d’un enfant et par la main d’un adulte et lu à l’oral par ces deux lecteurs ! Pour moi, le texte doit faire « sens » et faire « son » !

Extrait :

« Un vendredi midi, Zoufroute rencontra une jolie hérissonne qui n’en voulait jamais à personne !

Sur le champ, il tomba amoureux de ses magnifiques piquants, étrangement brillants et odorants ! Un parfum de lavande s’engouffra dans son beau museau pointu. Pour la première fois de sa vie, ses joues se mirent à rougir…

Alors, à votre avis, était-ce un coup de foudre ?

 Eh bien, oui, les amis ! Le cœur de Zoufroute sautillait de bonheur ! Ce hérisson fraîchement amoureux n’avait jamais été aussi heureux !

Il regarda s’éloigner sa belle, hypnotisé par ses beaux yeux et envouté par sa délicate odeur. Une fois seul, il n’espérait qu’une chose : la revoir au plus vite ! Et à cet instant, Zoufroute ne pensait plus du tout à faire des prouts ! Cette nuit-là, il ne trouva pas le sommeil, trop occupé à contempler le ciel étoilé et à rêver à sa fascinante dulcinée… »

L’histoire est racontée par un narrateur externe, qui s’adresse à plusieurs reprises à ses lecteurs, en s’amusant à les interpeller, voire à les prendre à témoin :

« Vous qui me lisez, vous imaginez bien que pour ceux qui l’entouraient, ce n’était pas agréable du tout !

Un prout de hérisson, ça ne sent jamais bon ! Ah, ça non ! »

 

« Pour la première fois de sa vie, ses joues se mirent à rougir…

Alors, à votre avis, était-ce un coup de foudre ?

Eh bien, oui, les amis ! Le cœur de Zoufroute sautillait de bonheur ! Ce hérisson fraîchement amoureux n’avait jamais été aussi heureux ! »

 

« Tous en chœur, souhaitons-leur plein de bonheur… »

 

Narration faite par le texte et l’image.

Schéma narratif : Un schéma quinaire qui rappelle la structure du conte

  • Situation de départ :

Elle est claire :

« Zoufroute était un hérisson fripon qui faisait toujours des prouts, les mardis, les jeudis et les samedis !

Ainsi, un jour sur deux, il offrait ses prouts !!! »

Il se moque de ne pas avoir d’amis et d’avoir une mauvaise réputation.

  • Rupture-Problème à résoudre / Élément déclencheur : Zoufroute rencontre une belle hérissonne et tombe follement amoureux. C’est un véritable « coup de foudre » ! Nous pouvons facilement imaginer que sans cette rencontre, Zoufroute n’aurait jamais eu le désir ni l’envie de changer… C’est la première fois de sa vie qu’il éprouve ce sentiment. Il ne trouve pas le sommeil et ne cesse de penser à sa dulcinée fraîchement rencontrée !

 

  • Aventure-quête / Élément perturbateur : Zoufroute veut absolument revoir cette belle hérissonne et lui parler ! Le lecteur imagine bien qu’il a envie de lui plaire !

La belle hérissonne fait tout pour éviter cet animal à pic très fripon, et ce, à plusieurs reprises : Le samedi, elle fait semblant d’être occupée au téléphone.

Le dimanche et le lundi, il la guette sans succès et l’attente est terrible au point que son cœur pleure à l’intérieur…

Le mardi, elle fait demi-tour.

Le mercredi, mais seulement à la fin de la journée, elle montre son joli museau, mais dès qu’elle le voit, elle se jette de nouveau sur son téléphone (petit clin d’œil à notre société actuelle où les nouveaux modes de communication peuvent aussi nous couper des relations de proximité…)

Le lecteur comprend aisément que pour cette demoiselle, l’attitude irrespectueuse de Zoufroute est insupportable.

Le narrateur (oui c’est bien moi, l’auteur !) guide son lecteur dans le temps, en déclinant les jours de la semaine, afin que celui-ci puisse se repérer et se rendre compte que l’attente est très longue pour notre Zoufroute amoureux.

Et pour la première fois de sa vie, Zoufroute est touché par cette réaction de rejet (jusqu’à maintenant nous avions bien compris que cela ne lui faisait rien !). Ce sont ses sentiments pour la belle hérissonne qui font que le regard qu’elle pose sur lui est important… Il est extrêmement vexé ! La contrariété l’emporte au point qu’il enfreint « SA » règle qu’il s’était fixée ! (effet comique recherché !) : « ne jamais faire de prout les lundis, mercredis, vendredis, et dimanches… »

  • Résolution du problème / Développement : Face à ce comportement très irrespectueux, Mademoiselle la hérissonne l’interpelle, bien décidée à avoir une conversation avec lui, afin de lui parler d’éducation, de respect… Elle lui rappelle qu’il fait partie d’une famille :

«— Monsieur le Hérisson, vous faites partie de la famille des érinacéidés. Vous devez absolument apprendre le respect !

— Ah bon ? Mais c’est quoi ?

— Le respect, c’est avoir un bon comportement avec tous ceux qui nous entourent. »

Pour le lecteur, il est facile de faire le lien avec la famille des humains à laquelle nous appartenons tous et quel que soit notre pays, notre langue, notre culture, la couleur de notre peau, le respect est bien une valeur universelle qui nous permet de vivre en société et dans l’idéal, en harmonie les uns avec les autres …

Zoufroute a foncièrement envie de changer, car pour la première fois de sa vie, il est amoureux et sa vie prend alors un autre sens.

« Le hérisson était tellement content de se trouver près de sa belle qu’il en oublia d’être fripon et s’adressa à elle d’un air suppliant :

— Je sais que j’ai une mauvaise réputation… Mais pouvez-vous m’aider à apprendre le respect, belle demoiselle ?

— Oui, bien sûr, Monsieur, car je vois que vous êtes prêt à faire un effort ! »

C’est LA rencontre avec cette belle hérissonne qui lui permet de voir certaines choses sous un autre angle : dans la vie en société, il existe des règles, des valeurs à respecter pour bien vivre les uns avec les autres…

« — Retenez vos pets, cher Monsieur ! Vous trouverez ainsi la paix… et des amis, car on ne peut bien vivre sans de jolis liens fleuris !

— Croyez-vous Mademoiselle que je pourrai aussi trouver une femme à aimer ?

— Monsieur, tout dépend des efforts que vous fournirez ! À vous de jouer ! » »

  • Retour à une situation d’équilibre / Dénouement : Grâce au regard bienveillant et encourageant de la belle hérissonne, Zoufroute comprend l’importance d’être respectueux envers son entourage et attentionné. Il découvre les joies de la vie en société, en tissant des liens d’amitié. Des sentiments amoureux naissent également dans le cœur de la belle hérissonne et ils se déclarent leur amour.  

Analyse de la fin de l’histoire :

« Ils se marièrent très vite, désirant partager cet amour puissant et transmettre une belle éducation à leurs futurs enfants… »

Fin heureuse et classique qui se veut « rassurante » pour le jeune lecteur, puisque connue et reconnue ! De plus, j’avais déjà en tête la suite des aventures de Zoufroute qui me permettrait d’aborder l’éducation et l’apprentissage valeurs humanistes telles que le respect, le respect de soi, le respect des autres, le respect des différences, la tolérance, le non-jugement, la bienveillance…

Dans tous mes contes éducatifs, je me suis appuyée sur « la rencontre » entre deux animaux dotés de caractéristiques communes, opposées, complémentaires… Là où Mesdames Inspiration et Générosité m’ont guidée… En écrivant ces histoires, j’ai pensé à toutes ces découvertes, humaines, livresques, artistiques qui nous « éclairent », nous « éveillent » et enrichissent notre perception du monde… De plus, je crois sincèrement au pouvoir des mots sur les cœurs, et contre certains maux…

Rapport texte/image :

Rapport de complémentarité : Le sens de l’histoire se construit autant par les images que par le texte. Illustrations explicites !

 

Rapport d’enrichissement également : Le lecteur iconique, au fil des images, découvre que Zoufroute s’humanise peu à peu. Je me suis aidée du dessin pour montrer cette progression. Le texte le dit d’une autre manière : Zoufroute en oublie d’être fripon face à la belle hérissonne, transformé par ce sentiment nouveau qui jaillit de son cœur :

  • Dans un premier temps, il marche à quatre pattes.

Je souhaitais insister sur son « animalité », sur son caractère asocial et individualiste. Il n’a aucune envie de respecter les autres. J’aurais pu imaginer un hérisson qui fait des prouts tout le temps ! Si j’ai choisi trois jours par semaine, c’est bien pour insister sur le comportement « intentionnel » de notre cher animal à pics ! J’avais l’image de Zoufroute qui fait un prout comme il lance un pic ! C’est une attitude malveillante, puisqu’elle est source de désagrément pour les autres qui l’entoure… Il veut déranger, gêner ! Dès le début de l’histoire, le lecteur comprend que Zoufroute pourrait agir autrement ! Il a décidé de gêner ceux qui l’entourent et d’adopter un comportement irrespectueux ! Il fait des prouts malodorants, il n’est pas rasé, porte une barbe et l’un des premiers conseils que la belle hérissonne lui donne : « Et, pour commencer, je vais vous donner un conseil en or : pensez toujours à sentir bon ! » Tout cela sous-entend qu’il ne se lave pas, c’est-à-dire qu’il ne prend pas soin de lui : respect de soi, respect de son propre corps…

 

  • Dans un second temps, il adopte la position debout lorsque la belle hérissonne commence à lui parler d’éducation et de respect.

Posture d’écoute, de réceptivité et de remise en question. L’amour comme vecteur de changements positifs et d’ouverture aux autres.

  • Dans un troisième temps, Zoufroute pose un genou à terre. Ce n’est pas un acte de soumission, mais d’acceptation pour enfin « intégrer » » la société. Comme on l’apprend aux jeunes enfants la socialisation, c’est respecter les règles de vie ! Les règles de « politesse » (on parle de « mots magiques » !) ou plus largement de respect (avec ses règles d’or » !)

Enfin, Zoufroute est habillé à la dernière illustration, ce qui témoigne de son intégration sociale. Il est rasé, ne porte plus de barbe, prend soin de son propre corps, de son apparence très élégante. La canne est un clin d’œil : il est devenu un véritable gentleman respectueux de son entourage.

 

Rappel des mots clés : respect, respect des autres, respect de soi, valeurs, éducation, socialisation, parent, enfant, communication, liens affectifs, bonheur.

Avis de blogueuses :

Merci à Laetitia du blog « Ensemble naturellement » pour son retour très positif. Voici le lien vers l’article : http://www.ensemblenaturellement-leblog.com/archives/2015/06/11/32200686.html

Merci à Caroline du blog « Apprendre à éduquer » : http://apprendreaeduquer.fr/3-livres-pour-reflechir-avec-les-enfants-sur-les-notions-de-respect-et-de-difference/

Merci également à Jackie du blog « Contes à petits pas » : https://contesapetitspas.wordpress.com/2015/07/01/apprendre-le-respect-avec-le-herisson-zoufroute/

Merci à Sophie du blog « Livres Préférés de mes enfants sur Zoufroute » :  https://www.facebook.com/sosolivresenfants/photos/a.652945534832537.1073741828.652457198214704/734293106697779/?type=3&theater

Merci à Vassilia du blog «L’esprit vient en jouant » : http://espritvientenjouant.blogspot.fr/2015/06/zoufroute-herisson-qui-prout-Isabelle-Le-Tarnec-Livre.html

Merci à Aurore du blog « La fée biscotte » : http://lafeebiscotte.com/2015/06/04/il-etait-une-fois-zoufroute/

Avis de clients Amazon :

https://www.amazon.fr/product-reviews/B00QM5YLJ8/ref=cm_cr_getr_d_paging_btm_next_3?ie=UTF8&filterByStar=positive&reviewerType=all_reviews&showViewpoints=0&pageNumber=3&sortBy=recent

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Un grand merci pour votre intérêt et votre confiance !

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Lien vers la liste de mes ouvrages autoédités : http://isabelle-le-tarnec.fr/les-livres/

Bonne lecture aux petits et aux grands ! 

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En tant qu’auteure, toute reproduction, même partielle, de mes livres est formellement interdite sans mon accord, en référence au Code de la propriété intellectuelle.
Tous droits réservés pour tous pays.

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One Response so far.

  1. GUERANDELLE dit :

    Zoufroute ! Ce livre est vraiment trop drôle ! Mes filles adorent ! J’ai dû leur lire et leur relire plusieurs fois. Avec beaucoup d’humour, j’ai pu parler de la notion de respect (surtout à ma fille aînée). Et elle a l’air d’avoir bien compris cette notion un peu abstraite.

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